From Gail Adelson-Marcovitz <[email protected]>
Subject Calling out antisemitism | Dénoncer l’antisémitisme
Date August 4, 2023 4:54 PM
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Dear John,



Earlier this week at a Canadian university, a professor in the Faculty of Engineering showed his class a 20-minute film produced by Amnesty International called Palestinians Through Apartheid that purported to expose the impact of the Israeli surveillance system on Palestinians living in the West Bank and Gaza.



This was after the students had been required to read an article betraying the same bias and perspective and participate in a class discussion where no additional context was provided, nor any alternate perspectives shared. At least one Jewish student in the class felt victimized and targeted. 



Our local CIJA team is working alongside Hillel to provide support for the student to address this series of incidents with university administration. However,one thing remains clear: abuse of podium – when professors use their position to drive a political perspective or agenda – is always, as it was in this case, unacceptable and untenable. 



The impact on both Jewish and non-Jewish students can’t be denied. A purported “fact” about Israel and the conflict from a professor carries far more influence and weight in the minds of young students than one from their peers. And just try to imagine a student challenging this video in the lecture setting – certainly risking a rebuke from their professor or fellow students and likely compromising their grade.



Those in positions of authority, especially in the lecture halls ofour post-secondary institutions, must be better at recognizing what’s encouraging debate and fostering learning and what’s just attempting to spread personal viewpoints. This lack of distinction has, sadly, become increasingly common within Canadian universities.



And, while I have heard many suggest the increase in antisemitism is overstated and that US trends are not happening in Canada – that is, clearly, inaccurate.



Our children are suffering from increased antisemitism on campuses across the county, and – perhaps just as concerning – a generation of young adults isexposed to a one-sided narrative about Israel, the Palestinians, and Zionism. The result of this is the normalization of Jew-hate quickly finding its way into the mainstream because what starts on campuses does not end on campus. It accompanies graduates as they enter the workforce and participate in civil society. 



We cannot afford to be complacent – we must act together, and we must act now. 







That’s exactly why CIJA recently became a founding member of a new global working group with seven other organizations representing the world’s largest diaspora Jewish communities. Spearheaded by the ADL in the US, the J7, The Large Communities Task Force Against Antisemitism, is represented by CIJA in Canada and by organizations in Argentina, Australia, France, Germany, the United Kingdom, and the United States. 



The J7 will meet regularly to analyze challengesin tackling antisemitism across the world, develop and coordinate strategies, and share best practices as we all work to protect the quality of Jewish life in our respective countries. 



Within the J7 there will also be working groups that comprise experts from each community working to develop action plans pertaining to policy and advocacy, technology, security, extremism, and education – all to combat antisemitism.



All of this is incredibly important work. To have partner organizations from whom we can learn and share successesis exactly the type of global cooperation we need to make a difference in the fight against Jew-hatred.



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And yet, it is not sufficient. We need your help, your commitment to stand together with us in Ottawa on October 16 and 17 as we face our government and our fellow Canadians and share our concerns. 



A joint effort by CIJA and Canada’s Jewish Federations, Antisemitism: Face It, Fight It <[link removed]> is a conference like nothing before it. It will address this hate by learning what antisemitism looks like, how it manifests, what it means, and how it’s undermining and marginalizing Jews. We’re going to confront this new challenge together and use this gathering to express solidarity and demonstrate unity. You will leave the conference empowered to make a difference and holding the tools and skills to address these issues in your workplace and within your networks. You will acquire the knowledge necessary to guide your children and empower them to stand up proudly and unapologetically as Canadian Jews. 



Just as we are participating in the J7, we want you to join us at Antisemitism: Face It, Fight It, not just to make a difference but to be the difference. 



You can find out more about Face It, Fight It here: www.fightit.ca <[link removed]>



And, if you’re interested in learning more about the J7, The Large Communities Task Force Against Antisemitism, you can find out more here: CIJA.ca/J7 <[link removed]>



Until next time.







Gail Adelson-Marcovitz

National Chair







Bonjour John,



En début de semaine, dans une université canadienne, un professeur de la faculté d’ingénierie a montré à sa classe un film d’une vingtaine de minutes produit par Amnesty International, intitulé PalestiniansThrough Apartheid (Les Palestiniens face à l’apartheid), qui entendait dénoncer les conséquences du système de surveillance israélien sur les Palestiniens vivant en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.



Et ce, après que les étudiants aient été invités à lire un article reflétant les mêmes préjugés et la même perspective, puis à prendre part à une discussion en classe sans qu’aucun contexte supplémentaire ne soit fourni ni qu’aucune autre perspective ne soit partagée. Au moins un étudiant juif présent ce jour-là s’est senti pris pour cible.





Notre équipe locale du CIJA (Centre consultatif des relations juives et israéliennes) travaille aux côtés de Hillel pour aider l’étudiant à remédier à cette série d’incidents auprès de l’administration de l’université. Cependant, une chose reste claire : l’abusde podiumexercé par les professeurs, qui utilisent leur statut pour défendre un point de vue ou un programme politique,demeure, comme dans le cas présent, inacceptable et insoutenable.



Nous ne pouvons nier les effets de ce phénomène sur les étudiants juifs comme non juifs. Un prétendu « fait » sur Israël et le conflit émanant d’un professeur a beaucoup plus d’influence et de poids dans l’esprit de jeunes étudiants qu’un fait émanant de leurs pairs. Imaginez un instant qu’un étudiant conteste cette vidéo dans le cadre d’un cours magistral;il courrait alors le risque de se faire réprimander par son professeur ou ses camarades et de compromettre sa note.



Les personnes exerçant une fonction d’autorité, en particulier dans les amphithéâtres de nos établissements d’enseignement supérieur, doivent mieux discerner ce qui encourage le débat et favorise l’apprentissage de ce qui ne sert qu’à diffuser des points de vue personnels. Ce manque de distinction est malheureusement devenu de plus en plus courant dans les universités canadiennes.



Et si j’ai entendu de nombreuses personnes affirmer que l’augmentation de l’antisémitisme était exagérée et que les tendances américaines ne se produisaient pas au Canada, il est clair que c’est inexact.



Nos enfants souffrent de la montée de l’antisémitisme sur les campus du pays et – ce qui est peut-être tout aussi inquiétant – unegénération de jeunes adultes est exposée à un récit unilatéral sur Israël, les Palestiniens et le sionisme. Il en résulte une normalisation de la haine des Juifs qui se fraie rapidement un chemin dans le courant dominant, car ce qui commence sur les campus ne s’y arrête pas. Elle accompagne les diplômés lorsqu’ils entrent sur le marché du travail et participent à la société civile.



Nous ne pouvons pas nous permettre de baisser la garde : nous devons agir ensemble et maintenant.







C’est précisément la raison pour laquelle le CIJA est devenu récemment un membre fondateur d’un nouveau groupe de travail mondial aux côtés de sept autres organisations représentant les plus grandes communautés juives de la diaspora dans le monde. Dirigé par l’ADL (Anti-Defamation League) aux États-Unis, le J7,Le groupe de travail des grandes communautés contre l’antisémitismeest représenté par le CIJA au Canada et par des organisations en Argentine, en Australie, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis.



Le J7 se réunira régulièrement pour analyser les défis posés par la lutte contre l’antisémitisme dans le monde, élaborer et coordonner des stratégies et partager les meilleures pratiques, alors que nous nous efforçons tous de protéger la qualité de la vie juive dans nos pays respectifs.



Au sein du J7, des groupes de travail composés d’experts de chaque communauté travailleront à l’élaboration de plans d’action dans les domaines de la politique et de la sensibilisation, de la technologie, de la sécurité, de l’extrémisme et de l’éducation, dans le but de combattre l’antisémitisme.



Toutes ces activités sont extrêmement importantes. Le fait d’avoir des organisations partenaires dont nous pouvons apprendre et partager les succès est exactement le type de coopération mondiale dont nous avons besoin pour changer la donne dans la lutte contre la haine des Juifs.







Et pourtant, ce n’est pas suffisant. Nous avons besoin de votre aide, de votre engagement à nous soutenir à Ottawa les 16 et 17 octobre, lorsque nous nous tiendrons devant notre gouvernement et nos concitoyens et que nous leur ferons part de nos préoccupations.



Fruit d’une collaboration entre le CIJA et les fédérations juives du Canada, Antisémitisme <[link removed]> : Faire face, combattre <[link removed]>est une conférence comme il n’y en a jamais eu auparavant. Elle abordera cette haine en apprenant à quoi ressemble l’antisémitisme, comment il se manifeste, ce qu’il signifie et comment il mine et marginalise les Juifs. Nous allons relever ce nouveau défi ensemble et utiliser ce rassemblement pour exprimer notre solidarité et démontrer notre unité. Vous quitterez cette conférence en ayant les moyens de faire bouger les choses et en détenant les outils et les compétences nécessaires pour aborder ces questions sur votre lieu de travail et au sein de vos réseaux. Vous acquerrez les connaissances dont vous avez besoin pour guider vos enfants et leur donner les moyens de s’affirmer fièrement et sans complexe en tant que Juifs canadiens.



Tout comme nous participons au J7, nous voulons que vous vous joigniez à la conférence Antisémitisme : Faire face, combattre <[link removed]>, pour faire la différence, mais aussi pour être la différence.



Pour en savoir plus sur Faire face, combattre, cliquez ici : www.fightit.ca <[link removed]>



Si vous souhaitez en savoir plus sur le J7,Le groupe de travail des grandes communautés contre l’antisémitisme, cliquez ici : CIJA.ca/J7 <[link removed]>



À bientôt.







Gail Adelson-Marcovitz

Présidente nationale







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CIJA - 81 Metcalfe St, 6th Floor, Ottawa, ON K1P 6K7, Canada

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