En évoquant, lors d'un déplacement, un "sentiment d'insécurité" dans un pays confronté à la montée de la barbarie, Emmanuel Macron a montré sa déconnexion et son mépris pour la colère des Français. C'est l'histoire d'un président qui se voulait moderne, mais qui parle comme Lionel Jospin !
 
Chers amis,

En évoquant, lors d'un déplacement, un "sentiment d'insécurité" dans un pays confronté à la montée de la barbarie, Emmanuel Macron a montré sa déconnexion et son mépris pour la colère des Français. C'est l'histoire d'un président qui se voulait moderne, mais qui parle comme Lionel Jospin !
 
 
 
Dans la réalité, les Français se sentent cernés par l'insécurité. Le plus petit village de France, la banlieue la plus huppée : plus un endroit n'est préservé des cambriolages et des agressions physiques. Et la seule réponse d'Emmanuel Macron à cette situation intolérable, c'est l'organisation d'"Etats généraux de la Justice" qui relève du numéro de communication : est-ce le rôle d'un président d'organiser des groupes de parole au lieu d'agir, particulièrement après 4 années de mandat ?
 
 
J'ai comme objectif de protéger les Français et de faire respecter leur volonté. Au pouvoir, contre l'insécurité, j'agirai : renvoi dans leur pays d'origine des "migrants mineurs isolés", dont un certain nombre sont directement responsables de l'aggravation de l'insécurité ; peines planchers pour contraindre les juges à prononcer des peines plus sévères contre les délinquants ; soutien humain et matériel à nos courageuses forces de l'ordre. Les pistes sont nombreuses pour éradiquer ce fléau : nous le ferons.

Il est temps de remettre la France en ordre !
 
 
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