« Sur cette route semée d’embuches, nous leur montrerons que les Hommes d’action ont pour habitude de faire de l’obstacle un moyen ». Ainsi commençait le discours de Marine Le Pen prononcé le 16 janvier 2011 à Tours, tout juste élue à la présidence du Front National. C’était il y a 10 ans.
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« Sur cette route semée d’embuches, nous leur montrerons que les Hommes d’action ont pour habitude de faire de l’obstacle un moyen ». Ainsi commençait le discours de Marine Le Pen prononcé le 16 janvier 2011 à Tours, tout juste élue à la présidence du Front National. C’était il y a 10 ans.
 
Prenant la tête de ce qui allait s’imposer quelque temps plus tard comme la première force politique de France, Marine Le Pen aura su faire d’un parti d’opposition audible, aiguillon de la vie politique française à bien des égards, une plateforme de rassemblement et de gouvernement, jalonnée de nombreuses victoires idéologiques et électorales, mais aussi endurcie et renforcée par les batailles perdues. 
 
 
Nul n’aurait pu prédire la décennie politique qui s’est écoulée. Marquée par l’effondrement des deux mastodontes qui se sont partagé des années durant le gâteau du pouvoir, elle se sera traduite par une recomposition nette de la vie politique et l’émergence des deux grandes visions de l’Homme et de la société qui structurent les nouveaux clivages à travers le monde : d’un côté, ceux qui voient dans les Nations et leurs frontières les garants de la prospérité des peuples, de l’autre, les partisans d’une course illimitée à l’ouverture, à la dérégulation et à la gouvernance par des ordres supranationaux.
 
 
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