Dans un long entretien de plus de 2 heures, Emmanuel Macron a repris à son compte tous les slogans et les poncifs de l’extrême-gauche. Incapable d’incarner l’autorité dont notre pays a plus que jamais besoin, il la dessert en abandonnant nos forces de l’ordre.
Si vous ne parvenez pas à lire cet e-mail, cliquez ici
 
 
Chers amis,
 
Dans un long entretien de plus de 2 heures, Emmanuel Macron a repris à son compte tous les slogans et les poncifs de l’extrême-gauche. Incapable d’incarner l’autorité dont notre pays a plus que jamais besoin, il la dessert en abandonnant nos forces de l’ordre.
 
 
Un président de la République ne devrait pas reconnaître un délit de faciès inhérent au métier de policier, accusant ainsi toute l’institution policière d’un « racisme systémique », jetant l’opprobre sur toute une profession.
 
Un président de la République ne devrait pas reprendre le terme de « violences policières », même pour faire plaisir à ses interlocuteurs d’extrême-gauche.
 
Un président de la République ne devrait pas faire preuve d’une indignation à géométrie variable en fonction de qui est la victime des « bavures ». Le gouvernement accepte de s’agenouiller devant la famille Traoré, mais reste dans un silence assourdissant face aux femmes et aux hommes éborgnés pour avoir porté un gilet jaune !
 
 
Vous avez reçu cet email car vous nous avez transmis des informations vous concernant. Vos données sont conservées à l'usage exclusif du Rassemblement National et ne sont transmises à aucun tiers.

Vous pouvez vous désinscrire à tout moment en cliquant ci-dessous :