Un président de la République ne devrait pas reconnaître un délit de faciès inhérent au métier de policier, accusant ainsi toute l’institution policière d’un « racisme systémique », jetant l’opprobre sur toute une profession.
Un président de la République ne devrait pas reprendre le terme de « violences policières », même pour faire plaisir à ses interlocuteurs d’extrême-gauche.
Un président de la République ne devrait pas faire preuve d’une indignation à géométrie variable en fonction de qui est la victime des « bavures ». Le gouvernement accepte de s’agenouiller devant la famille Traoré, mais reste dans un silence assourdissant face aux femmes et aux hommes éborgnés pour avoir porté un gilet jaune !