"Aujourd’hui, nous sommes 3 mois après les résultats du second tour, les fameux 100 jours après l’entrée en fonction de nos conseillers/llères, adjointes, adjoints et bien sûr de nos maires.
Nos actions et prises de positions sont scrutées à la loupe. Nos propositions sont volontairement caricaturées, nos adversaires souhaitent nous discréditer et faute d’arguments solides, jettent l’anathème sur les écologistes. Le vieux monde nous rejoue encore et encore sa petite musique sur notre incapacité à diriger, à exercer le pouvoir.
Nous assumons notre volonté de transformation de la société, nous assumons d’être l’alternative pour un monde plus juste, nous assumons notre volonté d’être fiers du monde que nous laisserons aux générations futures, parce c’est que qu’attendent de nous les citoyen·ne·s qui ont voté pour nous.
Aux manettes depuis 3 mois, nos maires n’ont pas chômé : que ce soit pour les cantines scolaires, l’aménagement des villes et la multiplication des voies cyclables comme à Lyon ou Bordeaux, l’aides aux familles les plus vulnérables comme à Besançon ou Poitiers, l’investissement en faveur de la réfection des écoles et des logements indignes comme à Marseille. Nous avançons nos propositions, nous agissons concrètement et oui, parfois nous bousculons et nous interrogeons les choses établies. À vrai dire c’est notre rôle, y compris sur le Tour de France."
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