Dear John,

During this holiday season, we hope you’re finding the time to rest, recover, and enjoy quality time with your loved ones.

Here at LEAF, we’re preparing for a big year ahead – one that includes fighting for access to justice for survivors of family violence. Now, more than ever, it is critical that we come together to defend and advance the rights of women, girls, trans, and non-binary people.

Will you give today to advance justice for survivors of family violence?

Thanks to the generosity of Torys LLP, all donations made on or before December 31st will be matched, up to $15,000. This means your contribution will have double the impact.

Family violence is systemic. It takes a physical, psychological, and financial toll on victims, and the violence is often sustained for years by someone you are supposed to trust and rely on. This insidious form of violence disproportionately impacts women, particularly those facing intersecting forms of marginalization.

Last month, LEAF was granted leave to intervene in a Supreme Court case that could lead to the creation of a new tort of family violence.

A tort is a wrong specifically recognized by the legal system, and for which the legal system can provide a remedy like monetary damages. Historically, survivors of family violence seeking compensation would have to try and combine separate individual torts, such as assault, battery, and the intentional infliction of emotional distress.

Existing torts are not nearly enough to redress the systemic harms of family violence. We know the law can—and must—do better.

A family violence tort would be an important step in the right direction. It could lead to higher compensation for survivors, better encourage them to seek compensation in the first place and ultimately help deter family violence.

We'll be going to the Supreme Court of Canada in February 2025 to intervene in this case. As we look to 2025, please consider giving today to strengthen this critical work.

Thank you for your ongoing commitment to the movement for gender equality. Together, we will create lasting change.

Pam Hrick

Executive Director and General Counsel LEAF

Bonjour John,

Nous espérons que vous trouverez pendant les fêtes le temps de vous reposer, de récupérer et de passer des moments agréables avec vos proches. 

Ici, au FAEJ, nous nous préparons à une autre grosse année – une année qui inclut la lutte pour l’accès à la justice pour les survivant·e·s de la violence familiale. Aujourd’hui, plus que jamais, il est essentiel que nous nous rassemblions pour défendre et faire progresser les droits des femmes, des filles et des personnes trans et non binaires. 

Donnerez-vous aujourd’hui pour le progrès de la justice pour les personnes survivantes de la violence familiale? 

Grâce à la générosité du cabinet Torys LLP, tous les dons effectués d’ici le 31 décembre seront doublés, jusqu’à concurrence de 15 000 $. Alors votre don aura deux fois plus d’impact. 

La violence familiale est systémique. Elle a de lourdes conséquences physiques, psychologiques et financières pour les victimes – et cette violence est souvent entretenue pendant des années par une personne en qui on serait censé·e avoir confiance et sur laquelle on devrait pouvoir compter. Ce type insidieux de violence a un impact disproportionné sur les femmes, en particulier celles qui sont confrontées à des formes croisées de marginalisation. 

Il y a un mois, le FAEJ a reçu le statut d’intervenant devant la Cour suprême dans une affaire qui pourrait déboucher sur la création d’un nouveau délit en droit : la violence familiale. 

Un délit est une faute civile spécifiquement reconnue en droit et pour laquelle le système juridique peut accorder une réparation telle que des dommages pécuniaires. Historiquement, les personnes survivantes de la violence familiale qui intentaient un recours en justice devaient essayer d’invoquer divers délits distincts, comme les voies de fait, la batterie délictuelle et l’infliction intentionnelle de détresse émotionnelle. 

Les types de délits existants sont loin d’être suffisants pour réparer les préjudices systémiques de la violence familiale. Nous savons que le droit peut – et doit – faire mieux. 

La création d’un délit de violence familiale serait un grand pas dans la bonne direction. Elle pourrait conduire à une indemnisation plus élevée pour les survivant·e·s, les encourager davantage avant tout à demander une indemnisation et, en fin de compte, contribuer à contrer la violence familiale. 

Nous serons à la Cour suprême du Canada en février 2025 pour notre intervention dans cette affaire. À l’approche de 2025, nous vous invitons à faire un don dès aujourd’hui pour renforcer ce travail essentiel. 

Merci du fond du cœur pour votre engagement continu en faveur du mouvement pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Ensemble, nous créerons des progrès durables. 

Pam Hrick 

Directrice exécutive et conseillère générale 

FAEJ