**Version française du communiqué ci-dessous**

Dear John, 

Amnesty International has released the findings of its most recent "independent" investigation into the ongoing Israeli-Palestinian conflict. CIJA has issued a press release regarding this report, one that is another in a long line of the spurious, anti-Israel publications Amnesty International has issued.

Amnesty International has a long history of anti-Israel bias, consistently promoting false narratives and, over six decades, demonizing the world’s only Jewish state. This latest report is yet another example of Amnesty’s blatant application of a double standard against a country that is exercising its legitimate right – in fact, its obligation – to defend itself against terrorist groups calling for its destruction. Amnesty’s report and continued anti-Israel campaign are part of a legal assault against Israel that is designed to delegitimize and weaken it on the world stage and to embolden those seeking its destruction.   

To support its agenda of smearing Israel, Amnesty International has tried to redefine the concept of “genocide,” claiming that the universally accepted legal definition is an “overly cramped interpretation of international jurisprudence and one that would effectively preclude a finding of genocide in the context of an armed conflict.” This alone is enough to undermine any credibility the report might have generated.  

This report follows Hamas’ barbaric terrorist attacks, where more than 1,200 men, women, and children in Israel were raped, tortured, and murdered, and 251 others taken hostage into Gaza. Yet, this report completely ignores the context of this conflict: Hamas’ explicitly genocidal intentions, which include not only eradicating Israel but also eliminating Jews worldwide. Instead of holding terrorists accountable, Amnesty inexplicably inverts the narrative, blaming Israel for the violence perpetrated against it. 

Amnesty omits mention of Israel’s repeated efforts to minimize civilian casualties by issuing warnings before targeted strikes and, despite the extraordinary challenges of combatting a terrorist group like Hamas, Israel’s adherence to international law. By contrast, Hamas deliberately embeds its operations in densely populated areas, schools, and hospitals, using its own people as human shields to maximize civilian harm and distort global opinion. All these facts, which are inconsistent with the report’s spurious premise, are omitted.

This Amnesty International report is both biased and dangerous. By ignoring Hamas’ war crimes and shifting the blame onto Israel, Amnesty legitimizes the actions of a terrorist organization – one listed as such in Canada and internationally. This distortion of the facts fuels antisemitism globally and emboldens extremists who seek to destabilize the region and spread hate worldwide. 

As summarized by Richard Marceau, CIJA’s Vice President, External Affairs and General Counsel: “This biased report belongs in one place only: the trash bin.” Read our statement here. 

Sincerely, 
CIJA

John,

Amnistie Internationale a publié les conclusions de sa dernière enquête « indépendante » sur le conflit israélo-palestinien. Le CIJA a publié un communiqué de presse concernant ce rapport, qui s'inscrit dans la longue lignée des publications fallacieuses et anti-israéliennes de cet organisme.  

Amnistie Internationale a un long historique de prises de positions anti-israélienne, soutenant des mensonges diabolisant, depuis plus de six décennies, le seul État juif au monde. Ce dernier rapport est un nouvel exemple de l'application flagrante par cet organisme d'une politique de deux poids deux mesures à l'encontre d'un pays qui exerce son droit légitime - en fait, son obligation - de se défendre contre les groupes terroristes qui souhaitent et appellent à sa destruction. Le rapport d'Amnistie Internationale et la campagne anti-israélienne qui en résulte et se poursuit font partie d'un assaut juridique contre Israël qui vise à le délégitimer et à l'affaiblir sur la scène mondiale et à enhardir ceux qui cherchent à le détruire. 

Pour étayer son argumentaire dénigrant d'Israël, Amnistie International a tenté de redéfinir, fallacieusement, le concept de « génocide », en soutenant que la définition juridique universellement acceptée est une « interprétation trop étroite de la jurisprudence internationale qui empêcherait effectivement de conclure à un génocide dans le contexte d'un conflit armé ». Ce seul fait suffit à saper toute la crédibilité que le rapport aurait pu apporter au débat.   

Ce rapport fait suite aux attaques terroristes barbares du Hamas, au cours desquelles plus de 1 200 hommes, femmes et enfants ont été violés, torturés et assassinés en Israël, et 251 autres ont été pris en otage à Gaza. Pourtant, ce rapport élude complètement le contexte de ce conflit : les intentions explicitement génocidaires du Hamas, qui comprennent non seulement l'éradication d'Israël, mais aussi l'élimination des Juifs, partout, dans le monde entier. Plutôt que de demander des comptes aux terroristes, Amnistie Internationale travestis les faits en rendant Israël responsable des violences perpétrées à son endroit.

Amnistie Internationale omet facilement de mentionner les efforts répétés d'Israël de minimiser les pertes civiles en émettant de multiples avertissements avant ses frappes ciblées, ceci malgré les défis extraordinaires que représente la lutte contre un groupe terroriste comme le Hamas. Par contre, lâchement, le Hamas opère délibérément depuis des zones densément peuplées, près des écoles et des hôpitaux, utilisant sa propre population comme bouclier humain afin de maximiser les dommages causés aux civils et ainsi tenter d’influencer l'opinion mondiale. Tous ces faits, qui sont incompatibles avec les prémisses fallacieuses du rapport, sont omis.  

Ce rapport d'Amnistie Internationale est à la fois partial et dangereux. En ignorant les crimes de guerre du Hamas et en rejetant la responsabilité sur Israël, cet organisme légitime les actions d'un groupe terroriste inscrit comme tel ici au Canada et ailleurs dans le monde. Cette distorsion des faits n’alimente que l'antisémitisme et bénéficie aux extrémistes qui cherchent à déstabiliser la région et à répandre la haine dans le monde entier.  

Comme le résume Richard Marceau Vice-président aux Relations externes et avocat-conseil du CIJA : « Ce rapport biaisé n'a qu'une seule place : la poubelle. ». Lisez notre déclaration ici. 

Sincèrement,
L’équipe du CIJA