**Version française du
communiqué ci-dessous**
Dear John,
Since Hamas’ barbaric October 7 terror attacks
against Israel, which claimed more than a thousand lives – eight of
them Canadian – the situation within CUPE has deteriorated rapidly –
largely due to the so-called leadership of Fred
Hahn.
What began as a troubling trend in 2010 when Hahn was first
elected President, has now escalated into a full-blown crisis that
must be dealt with – immediately.
Under his watch, the union has become a breeding ground for
radicalization and extremism, affecting both workplaces and
campuses.
Jewish union members report unprecedented levels of racism,
hostility, and discrimination within their own union. Many no longer
feel safe participating in union activities – a stark betrayal of the
principles unions are supposed to uphold.
The recent incident on August 11, when he shared a
viral foreign-made antisemitic propaganda video,
marked a particularly egregious moment in Hahn’s leadership. His
promotion of radical ideologies is causing irreparable harm to CUPE's
integrity, unity, and effectiveness. His actions and statements, both
online and offline, have repeatedly crossed the line from legitimate
political discourse into hate speech, discrimination, and
antisemitism.
It's why we’re collectively saying
enough is enough, Hahn
must go.
CUPE has strayed far from its core mission of representing
all workers – becoming a platform for extremist ideologies that are
fundamentally anti-democratic and contrary to Canadian
values.
CUPE National has already asked Hahn to resign from
their Board. Fred Hahn has refused and plans to
stay.
His presence in CUPE’s leadership threatens the union’s
commitment to solidarity, inclusivity, equality, and respect for
diversity. These principles are being systematically violated by one
of CUPE’s own leaders, and it is now the responsibility of CUPE
National President Mark Hancock and the CUPE Executive Board to follow
through on their declaration of non-confidence in
Hahn.
Hahn’s desperate attempt to hang on to his – now rogue –
leadership poses an immediate threat to Jewish members, CUPE Ontario's
and CUPE National’s integrity, and the Canadian labour movement's
future.
Fire
Fred Hahn. If he won’t leave voluntarily, CUPE must remove him
from his position of influence.
Thank
you, CIJA
John,
Depuis les attaques terroristes barbares du Hamas contre
Israël le 7 octobre, qui ont coûté la vie à plus de mille personnes,
dont huit Canadiens, la situation au sein du SCFP s'est
rapidement détériorée, en grande partie à cause du soi-disant
leadership de Fred Hahn.
Ce qui a commencé comme une tendance troublante en 2010
lorsque Hahn a été élu président pour la première fois, s'est
maintenant transformé en une véritable crise qui doit être réglée -
immédiatement.
Sous sa direction, le syndicat est devenu un terrain propice
à la radicalisation et à l'extrémisme, affectant à la fois les lieux
de travail et les campus.
Les membres juifs du syndicat font état de niveaux sans
précédent de racisme, d'hostilité et de discrimination au sein de leur
propre syndicat. Nombre d'entre eux ne se sentent plus en sécurité
lorsqu'ils participent à des activités syndicales, ce qui constitue
une trahison flagrante des principes que les syndicats sont censés
défendre.
Le récent incident du 11 août, lorsqu'il a partagé une vidéo
de propagande antisémite virale produite à l'étranger, a marqué un
moment particulièrement grave dans le leadership de M. Hahn. Sa
promotion d'idéologies radicales cause un préjudice irréparable à
l'intégrité, à l'unité et à l'efficacité du SCFP. Ses actions et ses
déclarations, en ligne et hors ligne, ont à plusieurs reprises franchi
la ligne du discours politique légitime pour se transformer en
discours de haine, de discrimination et
d'antisémitisme.
C'est pourquoi nous disons collectivement que c'en est assez
et que M. Hahn doit partir.
Le SCFP s'est éloigné de sa mission principale, qui est de
représenter tous les travailleurs, et est devenu une plateforme pour
des idéologies extrémistes qui sont fondamentalement antidémocratiques
et contraires aux valeurs canadiennes.
Le SCFP national a déjà demandé à Fred Hahn de démissionner
de son conseil d'administration. Fred Hahn a refusé et prévoit de
rester, même si on lui a dit de partir.
Sa présence à la direction du SCFP menace l'engagement du
syndicat envers la solidarité, l'inclusivité, l'égalité et le respect
de la diversité. Ces principes sont systématiquement
violés par l'un des propres dirigeants du SCFP, et il incombe
maintenant au président national du SCFP, Mark Hancock, et au conseil
exécutif du SCFP de donner suite à leur décision de ne pas faire
confiance à M. Hahn.
La tentative désespérée de M. Hahn de s'accrocher à son
leadership dévoyé constitue une menace immédiate pour les membres
juifs, l'intégrité du SCFP Ontario et du SCFP national, et l'avenir du
mouvement syndical canadien.
Renvoyez Fred Hahn. S'il ne part pas volontairement, le SCFP
doit l'écarter de sa position d'influence.
Le leadership dévoyé de Fred Hahn est maintenant une
distraction et ce n'est qu'une fois qu'il aura été congédié que le
SCFP pourra entamer le processus crucial de guérison et
de réalignement. C'est l'occasion de se réengager dans sa mission
fondamentale de protection et de représentation de tous ses membres,
indépendamment de leur appartenance ethnique, de leur religion ou de
leurs opinions politiques.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de
mes sentiments distingués,
CIJA
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