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LEAF Summer News
IN THIS ISSUE:
📣 We’re hiring for 4 positions
💼 Intervening in 2 new legal challenges
🌐 Age verification + online child safety
📖 Pride & Indigenous Peoples' Month resources
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LEAF is hiring!
Join our team of passionate feminists dedicated to advancing substantive equality in Canada. We’d love it if you could share these postings widely within your networks.
Development Officer – This role is integral in driving LEAF’s year-round fundraising efforts that support our litigation and feminist advocacy. This is a full-time two-year contract position with the possibility of extension. Apply by June 23.
Office and Branch Relations Coordinator – The Coordinator supports the work of our member branches across Canada and contributes to the operations of the organization. This is a full-time permanent position. Apply by June 26.
2025-2026 Public Interest Articling Fellow – The Articling Fellow works with LEAF’s legal team to support the organization’s litigation, law reform, and public legal education efforts. This is a full-time 10-month contract position. Apply by June 28.
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LITIGATION
Challenging the pronoun policy in New Brunswick
LEAF is officially going to court to fight for the rights and safety of trans, non-binary, and gender-diverse youth in New Brunswick.
Last month, we were granted leave to intervene in the legal challenge against New Brunswick's sexual orientation and gender identity policy, which was changed last year. The policy now requires parental consent before the chosen name or pronouns of a trans or non-binary student who is under 16 can be used by school personnel in the context of classroom, extracurricular, and co-curricular activities. These changes increase risks of harm for trans youth, including increased victimization, suicidal ideation, and self-harm.
Trans and non-binary kids deserve the freedom to be their authentic selves at school. Like every child, they deserve to feel safe and supported among their peers and educators.
As feminists, we know that protecting (and advancing) their rights is central to our fight for gender equality, and that’s why we’re intervening.
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LITIGATION
Joining the latest legal fight against laws criminalizing sex work
The appellants in the case are non-sex worker third parties who are challenging only the provisions related to procuring and material benefitting from sexual services. We'll be highlighting the discriminatory impacts that these provisions (and the entire scheme criminalizing sex work) have on the safety and lives of sex workers.
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LAW REFORM
Age verification and child online safety
Bill S-210 proposes the imposition of age verification on any site hosting sexually explicit content. The bill’s aim is to mitigate harms to youth accessing online pornography.
Less talked about are the impacts the legislation would have on women, girls, trans and non-binary people. For one, age verification could block youth victims of non-consensually distributed intimate images from accessing the sites hosting their images and taking safety measures, such as reporting the content.
Also at risk is the increased censorship of queer-affirming expression, education, and art online. The Bill’s overly harsh penalties for not implementing an age-gate means that tech companies will crack down on “sexually explicit” content—and 2SLGBTQIA+ content is disproportionately targeted by sexual content moderation.
The Bill won't move to the next stage until the Fall, but in the meantime, we're meeting with Parliamentarians to advocate for a solution that makes the internet safer for young people and is aligned with human rights.
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June is Pride Month and National Indigenous Peoples' Month: read, listen, act
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Nouvelles estivales du FAEJ
DANS CE NUMÉRO
📣 Recrutement du FAEJ pour quatre postes
💼 Intervention dans deux nouvelles contestations juridiques
🌐 Vérification de l’âge et sécurité en ligne des enfants
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Le FAEJ recrute! Joignez-vous à notre équipe de féministes passionné·e·s qui se consacrent à l’avancement de l’égalité réelle au Canada. Nous serions ravi·e·s que vous partagiez ces offres d’emploi dans vos réseaux.
Agent·e de développement – Le/la agent·e jouera un rôle essentiel dans les efforts de collecte de fonds pour faire progresser l’égalité des genres au Canada. Il s’agit d’un poste contractuel de deux ans débutant en juillet 2024, avec possibilité de prolongation. Postulez au plus tard le 23 juin.
Stagiaire sur les questions d’intérêt public pour 2025-2026 – Le/la stagiaire sur les questions d’intérêt public collabore avec l’équipe juridique du FAEJ pour appuyer les efforts de l’organisme en matière de contentieux, de réforme du droit et d’éducation juridique du public. Il s’agit d’un poste contractuel à temps plein de 10 mois. Postulez au plus tard le 28 juin.
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LITIGES
Contestation de la politique du Nouveau-Brunswick sur les pronoms
Le FAEJ se tourne vers les tribunaux pour défendre les droits et la sécurité des jeunes transgenres, non binaires et de genres divers au Nouveau-Brunswick.
Le mois dernier, le FAEJ a reçu le statut d’intervenant dans la contestation judiciaire de la politique du Nouveau-Brunswick en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre, que le gouvernement de cette province a modifiée l’an dernier. La politique exige à présent le consentement des parents avant que le nom choisi ou les pronoms d’un·e élève trans ou non binaire de moins de 16 ans puissent être utilisés par le personnel de l’école dans le contexte des activités scolaires, parascolaires et périscolaires. Ce changement accroît les risques de préjudices pour les jeunes transgenres, notamment la victimisation, les idées suicidaires et l’automutilation.
Les jeunes transgenres et non binaires ont le droit à la liberté d’être eux-mêmes et elles-mêmes à l’école. Elles et ils méritent tout autant que les autres de se sentir en sécurité et soutenu·e·s par leurs pair·e·s et leurs éducateur·trice·s. Nous savons, en tant que féministes, que la protection (et l’avancement) de leurs droits doit être au cœur de notre lutte pour l’égalité des genres – voilà pourquoi nous intervenons.
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LITIGES
Participation à une nouvelle bataille judiciaire contre les lois criminalisant le travail du sexe
Les appelants dans cette affaire sont des tiers qui n’exercent pas le travail du sexe et qui contestent uniquement les dispositions relatives au proxénétisme et à l’avantage matériel issu de services sexuels. Nous comptons souligner l’impact discriminatoire de ces dispositions (et de l’ensemble du régime de la Loi sur la protection des collectivités et des personnes victimes d’exploitation) sur la sécurité et la vie des travailleuse·eur·s du sexe.
Nous nous réjouissions que nous soit accordée cette occasion d’intervenir, mais nous sommes profondément déçu·e·s qu’elle ait été refusée à l’Alliance canadienne pour la réforme des lois sur le travail du sexe. Ce rejet de la demande d’intervention de l’Alliance entraîne que les voix des travailleuse·eur·s du sexe – les personnes touchées le plus directement par la Loi – seront exclues d’une lutte judiciaire débattant de droits qui leur sont garantis par la Charte.
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RÉFORME DE LA LOI
Vérification de l’âge et sécurité en ligne des enfants
Le Projet de loi S-210 propose d’imposer une obligation de vérification d’âge à tout site Internet hébergeant du matériel sexuellement explicite. L’objectif de cette législation est d’atténuer les préjudices de l’accès à la pornographie en ligne.
Bien qu’on en parle moins, cette législation aurait un impact sur les femmes, les jeunes filles et les personnes transgenres et non binaires. Par exemple, la vérification de l’âge pourrait faire en sorte que les jeunes victimes d’une diffusion sans consentement d’images d’elles-mêmes ne pourraient avoir accès aux sites qui hébergent leurs images et prendre des mesures de sécurité, comme le signalement de ce matériel.
La censure en ligne de l’expression queer, de l’éducation aux enjeux queer et de l’art queer risquerait également de s’intensifier. Les sanctions excessivement sévères prévues par le projet de loi en cas de non-respect de l’obligation d’instaurer une barrière appliquant le critère d’âge signifient que les entreprises technologiques réprimeraient les contenus « sexuellement explicites ». Or les contenus 2ELGBTQIA+ sont ciblés de manière disproportionnée par la limitation des contenus sexuels.
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