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Les derniers évènements constatés à Sciences Po (dérives antisémites, blocage par des d'étudiants en solidarité à Gaza, sentiment de "capitulation" par la direction ...) interrogent et inquiètent.

Cette institution universitaire, une des plus prestigieuses de notre pays, subit l'agitation d'une minorité d'étudiants, instrumentalisés par LFI, qui disent se révolter contre les horreurs commises à Gaza, sans pour autant s'être indignés du massacre du 7 octobre.

Face à cette situation à Sciences Po et au risque d'embrasement dans d'autres universités en France, la seule réponse est la fermeté, le respect inconditionnel des valeurs de notre République et de nos lois, qui passe naturellement par la condamnation sans ambiguïté de tout acte ou propos antisémite.

Empêcher nos universités de fonctionner, les étudiants de suivre leurs cours n'est pas acceptable. Nos universités doivent rester un lieu de liberté d'expression - de toutes les expressions dans le respect de la loi-, de dialogue et d'écoute de tous les points de vue, mais aussi et avant tout un lieu d'enseignement, ouvert et bienveillant. 

Le sondage de la semaine était le suivant : "Etes-vous favorable à ce que les maladies incurables, type maladie de Charcot, qui entraînent des souffrances psychiques ou physiques insurmontables, puissent être prises en compte dans le projet de loi sur la fin de vie ?"

Vous avez répondu Oui à 92,31 %
Vous avez répondu Non à 7,69 %

Le sondage de la semaine à venir est le suivant : "Suite aux dérives constatées à Sciences Po Paris depuis quelques semaines, faut-il mettre cet établissement sous tutelle ?"

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