Mardi 20 juin, Félix Blanc, adhérent EELV, est arrêté chez lui par les services de l’anti-terrorisme, pour la participation à une action … à laquelle il n’était pas.
Porte fracturée, menottes passées aux poignets devant sa femme et son fils de 7 ans, puis 36 heures de garde à vue kafkaïenne sur la base d’une photo… qu’on refuse pendant des heures et des heures de lui montrer. Voilà un exemple de situation disproportionnée et totalement absurde à laquelle conduit l’application aveugle des lois séparatisme et de surveillance des activités numériques. À l'occasion de la conférence de presse du mercredi 28 juin, nous avons souhaité partager son expérience. |